Une proposition de loi adoptée par l’Assemblée Nationale en 2002 et débattue au Sénat en 2012 a institué le 19 mars « Journée nationale du souvenir et du recueillement à la mémoire des victimes civiles et militaires de la guerre d’Algérie et des combats en Tunisie et au Maroc ».
Un débat persiste sur le choix entre cette date plutôt que le 5 décembre, entre rapatriés, harkis et anciens combattants.
Pour notre part, nous nous bornerons à saluer la mémoire des victimes et à rappeler la nécessité du souvenir de temps cruels « pas si éloignés ».
Tout rassemblement et événement public étant à proscrire, notre participation sera limitée au pavoisement du monument et de la mairie.